Des formes urbaines compactes limitent les déperditions et encouragent les échanges thermiques entre les bâtiments. A qualité d’isolation et technique de chauffage égale, des bâtiments plus compacts, c’est-à-dire minimisant leur surface extérieure, permettent une économie de chauffage significative, et participent à limiter les émissions de gaz à effet de serre (Le chauffage résidentiel est responsable de 18 % des émissions de gaz à effet de serre en France). De plus, une forme qui minimise la surface extérieure des bâtiments est moins coûteuse à construire.

Source : « Approche Environnementale de l’Urbanisme : premiers enseignements » , Thierry Laffont, ADEME Languedoc-Roussillon, 3ème rencontre interprofessionnelle régionale, Développement et Ville Durable, Pas de Saporta, 9 Octobre 2008, p.3, http://www.convergence-lr.fr/evenement/1/ademe-aeu.pps