Introduction
On vient de voir que la comptabilité générale renonçait à suivre les stocks au jour le jour, les comptes correspondants restant débrayés, et que leur évaluation ne se faisait qu'en fin d'exercice grâce à un inventaire physique. Voyons comment se traduit comptablement cet inventaire, sachant qu'il faut bien que la photographie annuelle du patrimoine, le bilan, comporte bien in fine la bonne valeur des stocks.
Supposons que cet inventaire « Rappelons que nous en préciserons au chapitre "Les principes et conventions comptables" les modalités d'évaluation monétaire. »
ait donné comme résultat au 31.12.2007 la valeur de 22 000 €, le solde débiteur qui figurait au total des comptes de stock du 31.12.2006 jusqu'à la veille de l'inventaire du 31.12.2007 étant de 13 000 €.
Nous distinguerons deux cas selon qu'il s'agit de matières premières, approvisionnements divers et marchandises« Biens achetés pour être revendus en l'état. »
, d'une part, de biens ou de services produits par l'entreprise, d'autre part.